"L'héritage minier du territoire de la grande région touristique de Thetford est tellement important que nous voulons par ce GeoArt vous le faire connaître. Depuis 1876, notre région n’a cessé de grandir suite à la découverte de l’amiante. Plusieurs événements ont marqué tour à tour la vie au quotidien des premiers arrivants. Vous serez impressionné de trouver dans notre histoire plusieurs points tournants qui sont aujourd’hui toujours d’actualité. Pour réussir ce GeoArt, vous devrez à l’instar de nos pionniers, piocher ici et là sur le web pour trouver les réponses.
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Après un certain temps, vous aurez acquis beaucoup d’informations qui feront de vous un géomineur expérimenté. Avec ce bagage de connaissances historiques sur notre région, vous serez appelé à vous rendre sur le terrain afin d’y faire vos propres découvertes comme l’ont fait les travailleurs d’un temps passé. Et ainsi, ce faisant, palper le nouveau visage de cette ville dont l’économie a été chamboulée et diversifiée au cours des trois dernières décennies.
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Cette série de 30 caches mystères comporte deux façons de vérifier vos réponses.
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La première est le Checker de solution. Inscrivez vos coordonnées dans la case appropriée, cliquez sur "Je ne suis pas un robot" et finalement sur "Vérifier la solution"
La seconde est le vérificateur "Certitude." Pour utiliser ce dernier il est important d'inscrire votre réponse sans espace, sans majuscule et sans aucun signe de ponctuation.
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A) L'ancien quartier Saint-Maurice était situé au nord et à l'est du puits de la mine Beaver. L'expansion de celle-ci a forcé son déménagement à deux reprises Les travaux du deuxième déménagement du quartier Saint-Maurice commencent en juin 1970. Jusqu'en 1973, _ _ _ maisons sont déménagées et _ _ bâtiments sont démolis. B) Les habitants de la rue _ _ _ _ _ sont les autres oubliés du deuxième déménagement du quartier Saint-Maurice. Cette rue, qui loge plusieurs travailleurs de la mine Bell, est ouverte vers 1892. Au début du 19e siècle, elle était déjà enclavée entre deux haldes de résidus miniers. Le déplacement des maisons était prévu en 1973, mais, faute d'argent, le projet est suspendu. En 1987, huit maisons sont finalement relocalisées sur la rue Saint-Thomas. Plusieurs propriétés ont été auparavant démolies ou déménagées par leurs propriétaires ayant reçu une compensation financière des compagnies minières. Au plus fort de son développement, cette rue comptait plus d'une cinquantaine d'habitations. Aujourd'hui, il ne reste que quelques propriétés situées sur le haut de la rue.
Vous pouvez valider votre solution d'énigme avec certitude.